Divine Providence by Patrick ROBLES
JACQ Joseph, Marie, est né le 18 avril 1922 à Kérautret-en-Plouédern, dans le diocèse de Quimper (Morbihan). Son père François Jacq et sa mère, né Jeanne Yvinec, étaient cultivateurs. Famille profondément chrétienne, elle donna le jour à sept enfants. Joseph commença ses études à l'école primaire de Lesneven et il fit ses études secondaires au Petit Séminaire MEP, St Théophane Vénard, à Beaupréau (diocèse d'Angers). Le 1er octobre 1940, il commença ses études théologiques au Grand Séminaire de la rue du Bac. Il reçut le sous-diaconat le 29 juin 1946. Le 21 décembre de cette même année, il devenait diacre, et prêtre le 29 juin 1947. Il fut destiné à la mission de Kirin (Mandchourie). Agrégé le 14 novembre 1947, le Supérieur Général lui demanda de retarder son départ pour assurer deux années de professorat au Petit Séminaire Th. Vénard. Entre temps, la Mandchourie devenait fermée aux missionnaires. Le Père Jacq reçut alors une nouvelle destination : la mission de Yokohama. Embarqué le 10 octobre 1949, il arriva le 28 novembre au port de Yokohama.
Obéissant au parcours classique du nouveau missionnaire, il commença l'étude de la langue au presbytère de Ote Machi à Shizuoka, durant la construction de la "Maison commune". Celle-ci terminée, il s'y installa de juin 1950 à 1951. En mars 1951, il est envoyé à Shichirigahama (Kamakura) pour assurer le service religieux de l'hôpital Sainte Thérèse, tenue par les Soeurs de la Visitation du Japon. En octobre 1951, il est nommé vicaire du Père Delbos à la nouvelle paroisse de Yawata (Shizuoka). Le 25 février 1952, il devient le "socius" du Père Jachet à Shimizu. En mai de cette même année, il lui est demandé de partir pour le Saitama, dans la grande banlieue de Tokyo, à Kawaguchi, pour assurer l'aumônerie des Soeurs de Saint Paul de Chartres. Il y reste peu de temps : le 8 janvier 1953, Mgr. Arai, évêque de Yokohama, le nomme au poste de Fujieda : il y restera 28 années. Homme de prières, fort dévot à la Vierge Marie, la paroisse se développant rapidement, il doit créer de nouveaux centres : paroisse de Yaizu, paroisse de Kakegawa, desserte de Okabe. Il donna un nouvel essor aux mouvements catholiques. Pour les enfants, il agrandit l'école enfantine existante, et en fonda deux autres.
En 1981, le Père Jacq doit quitter sa paroisse pour un bref séjour à la "Maison commune", tout en gardant la charge de la desserte de Okabe. En 1983, son Supérieur lui ayant demandé de rentrer en France, il obéit, la mort dans l'âme. Il occupa alors la charge d'infirmier à la maison Saint Raphaël de Montbeton. C'est là qu'il mourut le 14 janvier 1991. Il sera inhumé dans le cimetière de Saint Raphaël.
Manuscrit inédit du Père Jacq : "L"envol de la colombe".
Son autre biographie inédite : "L’Âme du fond de la Bretagne".
Remerciements à Pascale Castel de Montauban
L'arrivée de Monseigneur Amand-René Maupoint
Nous sommes en 1857 une Frégate Royale qui est partie de France vers la lointaine île de la Réunion mettra quatre mois pour arriver en rade de Saint-Denis. C'est une traversée périlleuse qui se fait en contournant l'Afrique. A son bord se trouve Monseigneur Maupoint, second évêque de la Réunion qui vient prendre possession de son diocèse. Revenons justement à cette traversée, car au large du Cap de Bonne Espérance le temps se gâte. Un journal de l'époque relate en ces termes l'évènement :
"Un furieux ouragan, qui en quelques heures tord les agrès, fait craquer les vergues, enlève les chaloupes et bastingages et penche lamentablement le vaisseau. Sur le pont en péril, cramponnés ça et là, les passagers et l'équipage attendent dans cette morne stupeur, qui précède le dénouement, qu'un dernier craquement les plonge à jamais dans les abysses..."
Soudain, un homme, l'évêque, se dresse les yeux levés au ciel, il implore Marie :
"Ô Marie, Étoile des mers, sauve-nous du danger et nous faisons le voeu d'élever sur cette terre de Bourbon où nous aborderons, un sanctuaire qui parlera sans cesse de reconnaissance et d'amour."
Dans sa lettre pastorale du Carême de 1858, Monseigneur Amand-René Maupoint s'exprimait ainsi :
"Nous avons différé jusqu'à présent de vous entretenir d'un double voeu que nous avons fait dans un extrême danger où nous pouvions périr sans même avoir vu de loin la terre qui nous attendait. Nous avons promis à la Très Sainte Vierge, s'il nous était donné de monter sur notre siège avant de paraître devant Dieu, d'ériger une église qui porterait le nom de Notre-Dame de la Délivrance..."
Dans le silence d'agonie, on entend plus que le murmure des invocations. Tout s'est tu. Le tumulte des flots et le hurlement du vent. La Frégate se remet à glisser sur une mer plus claire pour arriver à Saint-Denis le 23 octobre 1857.
Monseigneur Maupoint est accueilli par une foule en liesse et avec les honneurs, c'est le deuxième personnage de la Colonie. Le 16 mars 1858, il crée une quatrième paroisse à Saint-Denis, dédiée à Marie Libératrice, qui porte le nom de Notre-Dame de la Délivrance.
En fait c'est une chapelle qui est édifiée sur le plateau de Petite-Île, avec des matériaux de fortune. Très vite elle devint un lieu de pèlerinage pour les marins et leur famille et reçoit de très nombreux ex-voto. Ce sanctuaire se révélait trop petit pour recevoir toutes les familles du quartier de Petite-Île et de la Rivière ainsi que les pèlerins.
C'est l'abbé Pierre Berthomieu en poste à la Délivrance depuis 1891 qui avec courage et ténacité ouvre une souscription pour un projet d'une grande hardiesse : construire l'édifice actuel. La première pierre fut posée en 1893 et le monument achevé en 1897.
Ainsi naquit l'un des plus grands lieux de pèlerinage de l'île dédié à Marie.
Prophétie de Saint Pie X - Allocution du 29 novembre 1911
Documents pontificaux de S.S. saint Pie X
(Versailles : Courrier de Rome, 1993), Vol.11, pp.396-397.
Que vous dirai-je maintenant, à vous, chers fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ?
Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se convertira et retournera à sa première vocation. Ses fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra jamais, la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes.
Un jour viendra, et nous espérons qu’il ne sera pas éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une voix lui répéter :
- Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?
Et à sa réponse :
- Qui êtes-vous, Seigneur ?
La voix répliquera :
- Je suis Jésus que tu persécutes. Il t'est dur de regimber contre l'aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même.
Et elle, frémissante et étonnée, dira :
- Seigneur, que voulez-vous que je fasse ?
Et Il dira :
- Lève-toi, lave les souillures qui t'ont défigurée, réveille dans ton cœur tes sentiments assoupis et le pacte de notre alliance et va, fille aînée de l'Eglise, nation prédestinée, vase d'élection, va, comme par le passé, et porte mon nom devant tous les peuples et les rois de la terre.
1936 - Prophétie de Marthe Robin au Père Finet
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil (...) Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu et criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille Aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
Ô PÈRE, ô mon Dieu,
délivrez et sauvez maintenant votre France.
Préparez les coeurs de ses enfants
à la mission qu'ils vont avoir à accomplir
pour toutes les nations et pour l'Eglise toute entière..
Ô PÈRE, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus
tressaillent à votre appel,
reconnaissant votre voix,
votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les chacun à leur place
et chacun à sa mission.
Imposez-leur tout ce que vous voudrez de chacun et de tous.
Que rien ne soit l'effet de leur choix,
mais de votre unique désir
et de votre unique volonté d'amour.
O Maman immaculée,
ne les laissez pas se tromper, ni s'égarer.
Amen
Années 1940 - Prière dictée par Jésus à Marcel VAN
« Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent :
Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute la tendresse.
Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre.
Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un cœur ardent à répandre ton Règne dans tout l'univers.
Amen.
Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là-même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon cœur brûlant d'amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français.
(...) mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime et chéris particulièrement... J'y rétablirai Mon Amour... En contemplant la fleur, ta sœur aînée, (Ste Thérèse de L'Enfant-Jésus), souviens-toi de prier pour que le pays que j'aime et chéris particulièrement ait le courage de se sacrifier pour le " Règne de mon Amour ". ... Mon enfant, la France est toujours le pays que J'aime et chéris particulièrement... J'y rétablirai Mon Amour.... Pour commencer à répandre sur elle Mon Amour, Je n'attends désormais qu'une chose : que l'on M'adresse assez de prières. Alors, mon enfant, de la France Mon Amour s'étendra dans le monde. Je Me servirai de la France pour étendre partout le règne de Mon Amour (J'avais manifesté déjà ces choses à une ou deux âmes, mais toi, mon petit enfant, tu les ignorais encore ; c'est pourquoi Je te les dis maintenant)... Mon enfant, J'aime beaucoup la France...»
Extrait du livre : Marcel Van Œuvres Complètes 2 Colloques
disponible à : St Joseph Editeur (voir en page LIENS)
14 août 1983 - Prière de Jean-Paul II à Lourdes
« Ici, sur cette terre de France, je confie, ô Mère de Dieu, à ton amour maternel les fils et les filles de ce peuple. Ils n'ont pas cessé de t'honorer, dans leurs traditions, dans l'art de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans la piété populaire comme dans la dévotion des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du Christ en te contemplant, en t'écoutant, en te priant.
Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris des rois, comme l'a fait Louis XIII au nom de son peuple.
O Marie, obtiens pour ces frères et sœurs de France les dons de l'Esprit Saint, afin de donner une nouvelle jeunesse, la jeunesse de la foi, à ces chrétiens et à leurs communautés, que je confie à ton Cœur Immaculé, à ton amour maternel. »
5 décembre 1983 - Message à Lucie
C'est en France que j'ai déposé mon Divin Cœur,
comme on dépose une perle dans un écrin.
C'est à la France d'en susciter la dévotion
et de la maintenir à travers les âges.
« Le règne viendra par l'Alliance ».
A présent le temps est venu
où Je dois présenter à mon Père
mon peuple uni dans l'Alliance
et sous le signe de ma Croix.
Avance et regarde l'horizon...
Déjà l'aurore paraît, avec elle vient l'espérance...
Regarde les signes de L’ALLIANCE.
Travaille pour ton Dieu, ma toute-petite.
L'Amour a posé sur toi le doigt et te bénit.
C'est de la France, ma fille aînée,
que j'adresse ce message à mon Eglise.
Je n'ai fait que vous rappeler
la sainte doctrine de mon Evangile
que Je veux voir refleurir sur la terre.
Puisez aux richesses
qui font la tradition de ma Sainte Église.
22 janvier 1990 - Message à Vassula
(Message pour la France, donné pour la réunion de prière du 11 février 1990 à Nice)
- La Paix soit avec vous. Je suis l'Esprit d'Amour, de Paix, de Réconciliation. Je suis Celui qui vous aime le plus. Je suis votre Créateur. Je vous dis solennellement que Je continuerai à répandre Mon Saint Esprit sur vos fils et filles comme il n'est jamais arrivé depuis de nombreuses générations, pour vous nourrir directement de Ma Propre Main et placer Ma Loi tout entière sur vos coeurs.
De vos jours, Je suis en train de révéler Ma Sainte Face à vous tous. Oui, Ma Sainte Face brillera sur vous, Mes bien-aimés. Je vous révélerai Ma Gloire et toi qui pourrais ne pas Me connaître encore, Je viendrai également à toi et Je prendrai ta main dans la Mienne et la placerai sur Mon Sacré Coeur. Je te ferai ressentir Mes Battements de Coeur et si alors tu Me le permets, Je séduirai ton petit coeur et le consumerai de Mon ardent Amour et le ferai entièrement Mien.
Si vous vous abandonnez à Moi, Je vous formerai à Ma Divine Image. Je vous redonnerai votre divinité et Je vous ferai saints comme Je suis Saint. Venez donc à Moi, votre Sauveur. Pourquoi regarder ailleurs ? Pourquoi rechercher ce que le monde offre et qui ne dure pas ? Recherchez ce qui est Saint et Eternel. Pourquoi se fier à ce que le monde offre alors que ce qu'il offre ne dure pas ? N'avez-vous pas déjà entendu que J'ai dit combien toute chair est herbe ? L'herbe se dessèche, la fleur se fane, mais Ma Parole reste à jamais. Tournez-vous vers Moi et faites confiance à Mon Amour.
Mes petits enfants, Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. N'écoutez pas le Tentateur qui cherche la ruine de votre âme - son empire est dans le monde - mais écoutez-Moi, votre Dieu, qui vous offre aujourd'hui Ma Main et qui Me courbe jusqu'à vous pour vous élever de la poussière et vous rendre saints dans Mon Coeur. Ecoutez-Moi et vous hériterez Mon Royaume. Venez à Moi et faites la paix avec Moi. Je vous lègue Ma Paix, une Paix que le monde ne peut pas vous donner.
Viens, toi qui ne M'as pas encore reconnu comme ton Rédempteur et détache-toi des choses élémentaires qui ne peuvent ni élever ni nourrir ton âme. Pourquoi acceptes-tu d'être leur esclave ? Reviens à Moi, même dans ta misère et ta culpabilité. Je t'accepte tel que tu es et Je te dis que Je t'ai déjà pardonné. Laisse-Moi te dire, Mon enfant, qu'aucun homme n'a un plus grand amour pour toi que le Mien. Lève tes yeux vers Moi et regarde Qui te supplie : c'est Moi Jésus, ton Sauveur, qui viens à toi aujourd'hui, parlant par les bouches mêmes des plus petits d'entre vous. Je viens pieds nus* et comme un mendiant te demander un retour d'amour. Je suis à la recherche de ton coeur, ne Me refuse pas... Jour et nuit, Je tends Mes Mains vers toi. Quand viendras-tu à Moi ? Quand entendrai-Je ta réponse ? Trouverai-Je une réponse dans ce désert, Mon enfant ? ou bien le Silence recouvrira-t-il Mon Ame ? Ecoute, écoute Ma plainte, c'est la consolation que tu peux M'offrir. N'aie pas peur, Je t'aiderai. Tu vois ? Je te renouvellerai entièrement si tu t'abandonnes à Moi. Je suis venu jusqu'à ta porte, et si vous êtes rassemblés ici aujourd'hui pour écouter ce que Mon Esprit vous dit, c'est parce que J'ai choisi qu'il en soit ainsi. Je suis venu te donner l'Espérance, Je suis venu te donner la Lumière. Je ne suis pas venu te condamner mais te réveiller, Mon enfant, et te montrer Mon Sacré Coeur, et Qui Se tient devant toi.
Vous êtes à Moi, bien que vous ne le soyez pas tous car certains placent l'honneur des hommes avant l'honneur qui vient de Dieu. Aussi Je vous dis solennellement :
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Reviens à Moi. J'entends te délivrer du mal et réveiller ton amour pour Moi. J'entends Me montrer à toi et te donner le signe de Ma Sainte Présence comme Je le donne à d'autres, te couvrant de Mon délicat parfum d'encens. Viens donc à Moi Me parler. Me parler c'est prier, prier avec ton coeur. Je suis venu dans le calme de la nuit te rappeler Mes préceptes. Ne sais-tu pas que depuis le commencement des temps, depuis que l'homme fut mis sur terre, une chambre au Ciel a été préparée pour toi ? Ta Demeure est au Ciel, avec Moi, à Mes côtés. Que cette chambre soit remplie de ta présence. Ne Me chagrine pas de voir ta chambre vide pour l'Eternité... Retourne à Moi, cesse d'errer sans but dans ce désert, cherche-Moi, Mon enfant. Cesse de faire le mal, apprends à pardonner, apprends à faire le bien. Sois confiant en Moi, ton Dieu, apprends à aimer tes ennemis, fais la paix avec Moi. Je te dis solennellement que si la terre est aujourd'hui recouverte de désastres, c'est le fruit de son apostasie.
Ah ! Mes amis, vous tous qui M'aimez et Me vouez votre vie entière, vous qui avez libéré le nécessiteux lorsqu'il appelait et avez donné votre chaleur à l'orphelin qui n'avait pas d'amour, vous qui êtes sensibles aux besoins des pauvres et qui consolez la veuve et qui ouvrez toutes grandes vos portes aux sans-père, et vous, qui cherchez à servir la cause de la Justice, sans jamais lever la main contre les innocents, réjouissez-vous ! car vous êtes vraiment Mes enfants. Aujourd'hui, Mes bien-aimés, Je vous demande de prier avec ferveur et de réparer pour ceux que Mon Coeur aime, mais qui se sont tournés contre Moi. Je vous demande de vous immoler pour tous ceux qui aggravent Mes Plaies, en les voyant tuer leur enfant avant même sa naissance. Priez pour le sein qui forme ces enfants mais les oublie et ne s'en rappelle plus le nom.
Invoquez-Moi dans vos difficultés et J'accourrai vers vous. Comptez vos grâces et louez-Moi. N'avez-vous pas entendu auparavant que Je secours tous ceux qui s'accrochent à Moi ? Vous n'êtes pas sans père, vous avez un Père au Ciel qui vous aime infiniment et Son Nom est comme une myrrhe s'épanchant de Lui pour vous oindre et vous bénir. Mes bien-aimés, Je vous fais don de Mon Amour. Prenez courage, vous tous qui vous immolez pour les autres. Je suis près de vous pour vous consoler. Prenez courage, Mes enfants, votre Dieu est très près de vous et beaucoup ont entendu Mes pas. L'Amour est en train de revenir à vous comme Amour et habitera parmi vous.
Je bénis chacun de vous, laissant Mon Soupir d'Amour sur vos fronts. Soyez un.
* Pieds nus : en simplicité, sans choisir des âmes particulièrement saintes pour Se manifester à travers elles.
25 novembre 1994 - Message donné en France à Vassula
- Mon Seigneur !
- Je Suis. Appuie-toi sur Moi... paix, Mon enfant. Ecoute et comprends : dépends de Ma puissance massive et de Mon Infinie Miséricorde. Prêche de la façon que Je t'ai prêché. Suis le coeur de la Loi*. Je te rappellerai tout ce qui t'a été dit.
(Puis le Christ m'a donné ce message pour la France :)
En ces jours, Je Me suis revêtu de toile de sac, pour manifester Mon chagrin. N'as-tu pas remarqué comme J'ai pris le désert à la recherche de Ma Fille Aînée* ?
Aujourd'hui, si J'ai pris le désert à ta recherche, c'est afin de mettre à l'épreuve l'authenticité de ton nom**, puisque tu as été choisie la première pour répandre Mon Amour. Je n'oublierai jamais combien tu étais Ma fierté et Mon orgueil et combien tu avais été obéissante.
Qu'est-il advenu du zèle ardent que tu avais auparavant ? Jadis, J'étais attrayant pour ton coeur. Comment as-tu pu oublier toutes les Grâces que tu as obtenues de Moi, hier encore ?
Fille-de-Mon-Eglise, tu es héritière de Mon Royaume ! Je suis venu à toi pour raviver ta dévotion à Mon Sacré Coeur, au travers d'une promesse.***
Don-de-Mon-Père, jadis gardienne de Mes Intérêts, ne M'oblige pas à dire : " Ma Propriété a été vendue**** et Elle s'est remplie d'administrateurs, au lieu de permettre à Mon Esprit d'y garder Son siège. Maintenant, Mon siège est gouverné par la chair ".
Reviens à Moi et corrige à nouveau ton coeur ; repens-toi et reconnais ton péché en présence de Mon Père, et Je répondrai à ton cri de repentir.
* C'est-à-dire l'amour : "Évangélise avec amour pour l'Amour".
** Allusion au titre de "Fille aînée de l'Eglise" par lequel, depuis le XIIème siècle, les Papes désignent la France (note du traducteur).
*** La France doit promettre fidélité au Sacré Coeur.
**** En anglais : given away (sold away) : dissipée, distribuée, donnée.
3 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ te dicte : sens Ma douleur, peuple choisi de France, et comprends combien tu offenses ton Dieu.
Que ce soit vers Moi que tu tournes ton regard, à présent, afin d’implorer Mon pardon pour tant de méfaits que tu as commis.
Mon peuple, Je t’ai donné une reine, Marie Ma sainte Mère, et toi, tu l’as écartée et t’es éloigné de Moi.
Mais Marie garde ses enfants de France ; elle les sauvera et Me les ramènera.
Ouvrez vos yeux, enfants, et voyez comment Marie sillonne déjà la France afin de venir vous chercher et vous ramener tendrement, vers la Lumière.
Dans peu de jours, Je serai à nouveau parmi vous: Je vous illuminerai de Ma radieuse Présence, et pénétrerai dans vos cœurs préparés par Ma Mère bien-aimée. D’ici peu, vous saurez alors qui Je Suis et combien vous M’avez fait mal, vous qui avez repoussé votre Maman céleste.
Le royaume de Jésus viendra par Marie : J’ai choisi votre pays pour rechristianiser le monde, en le sanctifiant, en vous sanctifiant.
Marie ne laisse jamais ses enfants ; c’est pourquoi elle vient parmi vous aujourd’hui - les vierges pèlerines -, déversant ses grâces sans nombre et attendrissant vos cœurs.
Mais J’ai besoin de votre regard d’amour, de l’éveil de votre cœur, et cela, afin de vous purifier, de vous montrer combien Je vous aime. J’ai besoin que vous compreniez combien vous M’offensez journellement, vous vautrant dans la boue du péché et sombrant à l’état de larves esclaves de Satan.
Vous ignorez tout de Satan, car vous croyez encore qu’il n’existe pas ; eh bien, Je vous dis, Moi, le Christ Jésus : Satan est caché auprès de vous, prêt à sauter sur votre faiblesse à chaque instant ; il est esprit et esprit de mal : il veut détruire vos cœurs et vos corps en vous amenant vers la souffrance éternelle.
Ouvrez donc vos yeux et comprenez que Dieu ne donne pas la souffrance et que c’est seulement votre inclination pour le mal, votre refus de Dieu, qui vous font recevoir tant de douleurs.
Revenez à Moi, Me demandant pardon de tant de méchanceté à Mon égard : Je vous pardonnerai, vous serrerai contre Mon Sacré Cœur, vous délivrerai du mal qui vous tient prisonniers.
Je veux que la France connaisse la tendresse de son Dieu ; pour cela, faites-vous tout-petits, pendant qu’il est encore temps…
Je vous aime et vous bénis, vous qui accueillez Mon Message.
Je sauverai la France, après l’avoir purifiée ; elle Me servira et M’adorera.
Jésus le Christ
5 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ te dicte : cela est Mon message pour la France, à nouveau ; écris pour ton pays, enfant.
Voici à nouveau que Je viens en votre pays, par la bouche de Mon instrument fidèle, vous donner la vie en abondance.
C’est maintenant que Je descends en vos cœurs, pour les illuminer de Ma Présence constante, de Ma tendresse profonde pour chacun d’entre vous.
D’ici peu, le tonnerre va gronder au-dessus de votre pays, car le mal que vous avez fait appelle le mal à tomber sur vous. Ce n’est pas Dieu qui vous envoie les souffrances, c’est le démon qui vous les inflige parce que vous l’acceptez en vos âmes. Le péché appelle la souffrance…
Revenez à Moi, âmes de ce temps, car votre souffrance de l’âme ou du cœur, du corps aussi, prendra son apaisement dans la douceur de Mon Cœur divin.
Mais pour cela, il faut que vous daigniez Me regarder, Me croire lorsque Je vous dis que Je vous aime, Me faire confiance lorsque Je vous dis que Je pardonne inlassablement, à qui M’offre ses péchés en s’en repentant.
Je vous éclairerai si vous le désirez, vous apprenant à Me connaître, à ne pas M’offenser.
Pourquoi M’offensez-vous si fort, vous moquant de Mes commandements d’Amour ? Pourquoi ne désirez-vous pas la vie et le bonheur de l’amour en vous ?
Pourquoi croyez-vous que les misères qui vous arrivent sont irrévocables ? Ne comprenez-vous pas que Je vous ai créés pour la joie, et ce, quelles que soient les difficultés de la vie ? Croyez-vous donc que Je ne souffre pas en regardant tant de maladies physiques et morales tomber sur vous ?
Je peux retirer le mal de la terre, si vous croyez que Je - le Christ Jésus - veux votre bonheur ; Je peux le défaire du pouvoir que vous lui avez donné si vous revenez à Moi humblement, Me demandant pardon pour tant de peine faite à Mon Cœur.
Si vous acceptez de changer vos vies, en Me laissant faire le bien en vous, Je purifierai vos âmes et sauverai vos cœurs qui n’existent plus guère.
Il faudra que Je vous donne l’épreuve du feu pour que vous Me regardiez en abaissant votre orgueil… Mais, quoique Mon Cœur ne désire pas vos souffrances, Je serai obligé de les laisser vous atteindre si vous ne reconnaissez pas votre Dieu.
Comprenez-vous combien Je vous aime, enfin ?
Ne désirez-vous donc pas l’infini Amour que J’ai pour vous ? Est-ce que votre vie d’esseulés vous satisfait vraiment, ou voulez-vous enfin rendre Gloire à votre Créateur pour la beauté de votre âme qu’Il veut vous rendre ?
Ouvrez donc vos yeux, et si vous n’y arrivez pas demandez-le-Moi, et Je vous promets que Je M’élancerai vers vous, vous donnant de Me connaître et de M’adorer, afin que vous soyez enfin heureux.
Je vous bénis, vous qui accueillez Mon message.
Jésus le Christ
12 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ te dicte : quand Je t’appelle à Me retrouver, viens et souris-Moi : Je Me repose lorsque tu souris en Moi…
Aujourd’hui, Je te parle de la France, encore, dans ce message…
Beaucoup d’évêques de ton pays se sont rebellés contre Moi, et Me crucifient par leur appartenance à la « secte » franc-maçonnique. Beaucoup ont érigé leur dictature envers ceux qui M’aiment, et ce, afin de les corrompre et de les détacher de Moi.
Par ces évêques qui n’en sont pas - car ils sont serviteurs de Satan -, le mal est en train de tomber avec acharnement sur la France, allant jusqu’à décourager les âmes de bonne volonté qui avaient fait vœu de Me servir.
Beaucoup de prêtres sont assujettis à des évêques francs-maçons et obéissent à des ordres qui vont contre ce que le pape demande et Moi, le Christ, à travers lui.
Si l’obéissance est de rigueur dans la voie religieuse, Mes prêtres oublient bien souvent que leur âme est libre, et qu’ils ne doivent jamais céder à des ordres qui seraient donnés à cette âme. Obéissance de gestes, de corps - de travail -, oui ; obéissance à des supérieurs qui sont ennemis de Mon Sacré Cœur en voulant imposer leurs vues diaboliques, non. La seule obéissance que Je demande en tout, est celle due au chef de Mon Eglise. Mais l’ordre ne doit jamais rendre un cœur esclave : le cœur est libre ; aussi, les prêtres doivent savoir vivre en vérité, ne se laissant troubler par aucune persécution, et avancer fidèlement selon leur cœur - amour - vers Moi. Je ne saurais tolérer qu’un prêtre dise M’aimer et obéisse à des ordres franc-maçonniques sous prétexte d’obéissance.
La franc-maçonnerie a détruit toute « idée » de cœur ; elle s’est ingéniée, par le biais d’évêques livrés à Satan volontairement, à faire disparaître toute « notion » d’amour; Je ne suis plus qu’un Dieu de « livres » et bien absent de votre monde…
Je désire que tu « t’ingénies » à détruire le faux message des évêques francs-maçons, enfant, de manière à rétablir la vérité dans les cœurs.
Aide-Moi ; ne laisse pas ton Dieu dans cette si grande souffrance. Annonce au monde combien Je l’aime, de Ma tendresse si grande, et parviens à Me ramener les âmes qui sont sur ce chemin de perdition.
Je bénis ton cœur obéissant et fidèle. Détrône les usurpateurs de Mon Nom, par la si grande tendresse que Je mettrai en toi : ose toujours parler comme Je te le demande et « suis »-Moi : Je te porterai ; ton Jésus te portera…
Jésus-Christ
20 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ te dicte : entends Mon appel, Mon peuple de France, et éveille-toi. Eveille-toi de la torpeur qu’a mise en toi le démon pour te décourager et t’éloigner de Moi.
Secoue-toi, ou plutôt, désire que Je te secoue, afin que Mon Esprit de Sainteté balaie en toi tout péché de vice et d’impureté. Tiens-toi à genoux devant Moi, peuple de France, car voici que Je viens te délivrer de tes ennemis.
Quels sont-ils, ces ennemis ? Tous ceux que tu as acceptés librement : le péché et l’aveuglement volontaire devant tes fautes. Repens-toi et Je te pardonnerai ; reviens à Moi pendant qu’il est encore temps, car Je ferai justice bientôt, et alors Je serai sourd à tes appels.
Combien de fois Me pousseras-tu à bout en faisant de cette terre que Je t’ai donnée un lieu où Satan est accueilli de plus en plus ? Comprendras-tu que tu cours à ta perte ainsi, en détrônant Mon Sacré Cœur et en rivalisant d’ardeur pour t’enorgueillir en prenant Ma place ? Comprends-tu combien tu t’acharnes contre Moi en démolissant Mon et Mes Eglises (l’Eglise catholique et les Eglises) ?
Comprendras-tu que Je suis las de tant de haine et que tu pousses le Bras de Mon Père à s’abattre sur toi ? Vas-tu enfin demander pardon pour tant de méfaits ? Vas-tu enfin cesser de rechercher ta gloire et M’honorer en Me laissant sauver ton âme ?
Faudra-t-il que Je te montre Ma puissance pour que tu comprennes que tu n’es rien de toi-même ?
Pauvre France enorgueillie ; tu ne sais quelle bassesse le démon t’a donnée… tu ne vois plus, ne sens plus, et te diriges vers l’abîme…
Je te sauverai ; Je le promets, Moi, le Dieu de tout ce qui est : lorsque ton cœur aura fondu, alors Je le serrerai contre Moi et le ferai Mien.
Ton pays est coupable de grands méfaits, enfant; il est l’un des premiers à avoir légalisé le meurtre d’enfants, à accepter la pornographie et le vice de l’impureté, à Me chasser ouvertement de Mon trône en ayant accepté la franc-maçonnerie.
Il est temps que la France s’éveille, enfant; délivre Mon Message, avance et souris : ton Dieu te bénit.
Jésus-Christ
Comme cela arrivait de temps à autre, Jésus, guidant la main de « Françoise », lui fait dessiner la terre avec une église et des maisons… paysage calme, couvert d’un arc de couleur rouge symbolisant le Mal qui retombe sur terre, tandis que, par-dessus, un arc de couleur verte symbolise la victoire de l’Esprit-Saint. Et Jésus lui dicte alors la légende suivante :
L’Esprit Saint recouvrira la terre,
en apaisant la douleur des uns - les Miens -,
en laissant le mal retomber sur ceux qui le désirent ;
ce sera la grande purification.
Toi, aide-les : ils en auront besoin.
Jésus-Christ
3 juin 1997 - Message à Jean-Marc
Peuple de France, prépare le Retour de ton Roi de Gloire
Paix à tous Mes Fils et Filles de France.
Mes Chers Enfants,
Votre Dieu d'Amour ne vous a jamais abandonnés, et Il ne vous abandonnera pas non plus aujourd'hui, au coeur de vos difficultés. Que ceux et celles qui entendent Mon Appel ne se désespèrent pas. La France est sous Ma Protection, Je l'ai choisie pour révéler au monde les Trésors de Mon Sacré-Coeur. Aussi Je lui accorde toute Ma Protection et Mon Amour.
Cependant, vous devez savoir quelle est l'ampleur de votre péché et de votre désobéissance aux Lois de Dieu. Sachez que la France, autrefois fidèle à Sa Mission de Fille Aînée de l'Eglise, ne l'est plus aujourd'hui. Il y a trop de divisions au sein de Mon Eglise, trop d'incompréhensions et de sacrilèges.
Que faites-vous Français du Précieux Héritage que Je vous ai confié ? Tous vos régimes politiques passeront, tous vos châteaux de sable s'effondreront, seule restera Ma Parole qui est de toute Eternité. Vous avez refusé à Dieu Sa Souveraineté, vous L'avez éjecté de Son Trône, alors comment voulez-vous aujourd'hui trouver la solution à vos problèmes ?
Je vous le dis, Fils et Filles de France, il vous faudra passer par bien des tribulations afin de retrouver la Vraie Paix et le Chemin qui mène à Dieu. Ce ne sont pas vos idéologies humaines éphémères qui vous y conduiront. L'heure n'est plus aux lamentations mais à la prière et à la Foi active.
Quoi qu'il arrive, restez fidèles à votre Amour et à votre appartenance au Christ. Par votre Baptême vous êtes unis à Lui et Lui appartenez. Montrez-vous Ses dignes héritiers.
Peuple de France, prépare le Retour de Ton Roi de Gloire.
Je vous bénis, Mes bien-aimés,
au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
6 octobre 1997 - Message à Françoise
Jésus-Christ te dicte : Je te bénis.
En aucun lieu comme ici, en France, Je n’ai été aimé, à certains moments de l’histoire... Mais, en ce moment, J’y suis crucifié, tant l’Eglise Me hait et Me détrône.
Les grands sanctuaires mariaux sont livrés aux marchands et aux incroyants... Les petits instruments que J’ai utilisés pour répandre Mes grâces sont oubliés, refusés. Partout, dans l’Eglise de France, Je ne vois qu’oubli et rejet de Mes dons.
L’on Me destitue de Mon trône, on ferme les églises, on les vide, on les détruit, on reconstruit dans la laideur et le non-respect de Mes demandes ; les prêtres eux-mêmes ne sanctifient plus le jour du dimanche, dans certains lieux, laissant aux paroissiens le soin d’offrir une liturgie incomplète avec Mon Pain dans la sainte Eucharistie, aux fidèles.
Le prêtre ne M’honore plus. Il Me tient à l’écart, quand il célèbre la Messe, croyant rarement à Ma Présence réelle, quand il consacre, et Me donnant à travers des mains non sanctifiées (celles des laïcs), quand il n’est pas besoin de le faire.
Tout M’est offense, dans ton pays, enfant, alors que Je l’ai tant comblé...
Je t’en prie, va porter Mon Message en France, partout ou tu iras, afin qu’elle Me redonne sa fidélité.
Je te bénis.
Jésus-Christ
26 avril 2002 - Message pour la France donné à Marie-Élisabeth pour la réunion des Témoins de l'Amour et de l'Espérance au Puy en Velay en Haute Loire.
France réveille toi ! Il faut aujourd'hui choisir : DIEU ou Mammon !
Tu as choisi des idoles : le pouvoir, l'argent, le crime des innocents !
Tu les as choisis en toute liberté.
Tu ne sais plus quel chemin tu dois suivre, mais Je suis le Chemin.
Tu es au bord de l'abîme, mais Je suis la Résurrection.
Redresse-toi ! Je veux redresser la tente.
Je veux réchauffer ton cœur par mes Rayons Divins.
Retournez à l’école, à l'école de mon Amour, car Je suis L'Amour.
Tu as froid, tu as peur. Mais bannis la peur ! Vos saints patrons vous ont donné l'exemple.
France, J'espère en toi, et toi, espère en ton DIEU !
Je t'ai choisie. Tu resteras ma fille aînée.
Mon Esprit te remplira de ses dons divins.
Viens à mon école. Je l'ai fondée pour toi, afin que tu puisses te redresser au contact de mes Rayons de Lumière, de mes Rayons de Force.
Va !
Rassemble tes frères en groupes de quelques personnes et, là, tu Me verras. Comme Je l'ai fait en Palestine, je guérirai les malades, Je convertirai vos cœurs.
Vous êtes mes apôtres, mes amis, si vous faites ce que je vous dis.
30 avril 2002 - Message pour la France donné à Marie-Élisabeth pour la réunion des Témoins de l'Amour et de l'Espérance au Puy en Velay en Haute Loire.
La Très Sainte Vierge Marie :
O ma fille, je suis venue vers toi pour te témoigner mon amour. Maintes fois, mon cœur s'est penché vers toi...
Tu ne M'as pas répondu.
Mon Fils M'a envoyée pour te supplier de changer de vie. Malgré tes erreurs, IL te regarde. IL attend ton retour vers Lui.
Tu as reçu tant d'avertissements jusqu'à ce jour ! Pourtant, IL ne cesse de t'appeler. A chaque instant, IL te donne des signes de sa présence. Pourquoi détournes-tu ton cœur ?
Je suis ta mère. Je t'ai enfantée la première et je t'ai aimée en prédilection. Je suis en ce lieu. Je tends les bras et Je te donne mon Cœur.
Jusqu'à présent, celui que tu sers n'a pas encore réussi à te dévorer, à t'anéantir. J'ai jeté mon manteau sur tes épaules pour te couvrir, mais mon vêtement devient de plus en plus lourd car tu déverses sur lui le poids des péchés.
Ma fille chérie, les battements de mon Cœur s'accentuent au rythme de mon amour pour toi.
Je te supplie de Me répondre. Le Père attend ta réponse !
Tu es dans les derniers jours avant que ne déferle sur toi la froideur de tes actes. Si le bruit de tes genoux martèle le sol de la France, Je te promets, fille bien aimée, de sauver ton pays qui est aussi le mien. Que ces jours soient des jours de prière et de pénitence pour que Mon Fils t'apporte la paix et le bonheur.
Je te bénis, mon aimée.
12 mai 2002 - Message pour la France donné à Marie-Élisabeth après l'office devant la pierre de Miséricorde à la cathédrale du Puy en Velay en Haute Loire.
JÉSUS :
Je n'ai plus de Sang.
J'ai tant donné ! Et Mon amour n'a pas changé.
Je continue à donner Mon Sang pour toute l'humanité et Mon Amour n'a pas changé.
Ô mon humanité ! Quand donneras-tu ton Amour ?
Ô France ! Ô Fille bien aimée ! Quand reviendras-tu pour M'aimer ? Tu devras verser ton sang pour Moi et en toi l'humanité sera purifiée.
France ! Fille de Mon Cœur, sur la Croix tu étais si près de Moi ! Je te pardonne, France, mais reviens vers Moi. Je t'en supplie ! Je t'en supplie ! Je t'en supplie ! Je te pardonne et je t'AIME.
23 Mars 2005 - Message à JNSR
La France est chrétienne. Elle est et restera la Fille aînée de l’Église
JÉSUS : Je t’appelle ce matin. Ce que Je te dirai sera consigné dans le livret que vous écrivez en Mon Nom.
Beaucoup de pays sont sur une pente désastreuse. En général, tous se trouvent dans une triste position. Au Jugement des Nations, chacune répondra de ses fautes, pour le mal qu’elles ont fait et pour le bien qu’elles n’ont pas fait.
Aujourd’hui, les populations sont déstabilisées. La jeunesse, et certains adultes, sont entraînés dans une violence cruelle qui va en s’amplifiant malgré les mesures prises pour garantir l'ordre public. Ni les organisations politiques, ni les forces de police, ne peuvent plus maintenir l’ordre et la paix. On n’obéit plus aux lois établies sur chaque territoire national.
Sainte Jeanne d’Arc n’est pas une légende, comme certains la considèrent. C’est une enfant très pure que Je choisis pour vous montrer l’Amour qu’elle avait pour son Dieu et pour sa Patrie, la France. Je lui ai permis d’entendre la voix des grands Saints du Ciel, Saint Michel Protecteur de son Pays, Sainte Catherine et Sainte Marguerite qui deviennent ses conseillères pour le Salut de la France chrétienne.
Les Nations portent toutes, en elles, une conscience, un droit de protection envers leurs propres enfants, le respect et un droit d’asile pour autrui : leur conformité répond aux exigences d’une règle établie entre Dieu et les hommes qui la conservent en leur cœur.
Sainte Clotilde était chrétienne. Elle eut la joie, par la Sainte Grâce de Dieu, de convertir son époux païen, Clovis, Roi des Francs, qui fut baptisé en 496 par Saint Rémi, Évêque de Reims. De ce fait, le Roi transmit à tout son peuple de recevoir le premier Sacrement de l’Église chrétienne, le Baptême. Et, à compter de ce jour heureux la France, de par son Roi, fut et est chrétienne.
La France, Nation chrétienne, est le modèle de l’Église du Christ. Elle est appelée Fille aînée de l’Église. Le Sacrement que reçut la France est sacré et définitif. Et elle est un modèle que personne ne doit contester.
JÉSUS Christ, votre Seigneur et votre Dieu, vous demande de bien comprendre ceci : Je suis Fils de Dieu et, de par Mon père nourricier Saint Joseph, Je suis également Fils de l’Homme.
Ma Naissance sur la Terre des hommes m’a fait épouser votre condition humaine, excepté le péché. Je suis Divin et Humain. Je suis venu sur la Terre des hommes pour vous apprendre à aimer Dieu, Mon Père et le vôtre. En M’aimant, vous aimez aussi le Père et tous vos frères en Dieu, car Moi, Je vous aime et Je vous ai aimés jusqu’à mourir pour vous sur Ma Sainte Croix d’Amour.
Mon acte de naissance porte bien le nom de Mon père Joseph. Par lui, Je suis également de la descendance royale de David, second Roi hébreu. Mais Je vous le dis encore une fois : oui, Je suis Roi, mais Mon Royaume n’est pas de ce monde ; et lorsque vous entrerez dans le Royaume du Père qui est au Ciel, vous serez, comme le Fils de Dieu, des Rois, et vous vous souviendrez que cette place et ce rang vous ont été acquis par le Roi des rois. Lui qui a souffert et qui est mort sur Sa Croix d’Amour, qui est ressuscité le troisième jour.
Je vous ai mérité cette place et ce rang.
A vous de les acquérir en aimant par-dessus tout votre Dieu et en aimant vos frères. Sainte Jeanne d’Arc a aimé son pays, la France, comme un enfant doit aimer son père et sa mère. Elle aima son Dieu en Lui obéissant et en Le respectant au-delà de sa propre humanité. Comme Lui, elle accepta sa Croix et mourut pour la Gloire de Dieu qui aime la France chrétienne.
Aimez le Pays où vous êtes nés. Respectez le Pays qui vous accueille, comme le Pays de votre naissance. Ne le déshonorez jamais, car il vous nourrit comme ses propres enfants, car il vous a adopté. Défendez-le, comme un enfant défend l’honneur de sa mère. La Nation choisie ne doit pas garder en son sein un traître. Sachez que, pour faire une grande chaîne avec tous les Pays du monde, vous devez déjà commencer par aimer le vôtre et à le respecter pour ce qu’il représente. La France ne doit plus agir comme une renégate.
Elle est chrétienne et elle est la Fille aînée de l’Église.
En suivant cette voie, Je ne la laisserai jamais périr. FRANCE, redresse ton front et regarde ton Dieu Sauveur. Aime et tu seras aimée. Pardonne et tu seras pardonnée. Tes enfants sont d’abord Mes enfants, viens-leur en aide, défends-les de tout péril. Et ils t’aimeront comme Jeanne d’Arc t’a aimée.
Mais souviens-toi, souvenez-vous TOUS, que c’est Moi qui ferai l’Unité de Ma Sainte Église comme celle des Nations. Seul l’Amour de Dieu peut unifier tout dans la Nouvelle Terre et les Nouveaux Cieux. Amen. †
Soyez patients. Je vous donne Ma Paix. Dieu est Amour.
†
† †
Samedi 4 juin 2005, Ste Clotilde - Message à JNSR
Pour Mon Église et pour la France
JÉSUS : Dieu aime la France et les Français. C'est aussi le choix de Ma Sainte Mère à qui Je ne refuse rien. C'est pourquoi ce choix ira jusqu'à la fin du monde.
Un enfant choisi de Dieu est un privilégié. Malgré ses turbulences, le Père lui pardonne à chaque fois car cet enfant est l'enfant-prodigue qui Lui reviendra un jour, repentant et guéri de toutes ses mésaventures, beau comme un soleil et reconnaissant au point de donner à son Père un bonheur digne de l'Amour qu'il a reçu, jusqu'à ce jour, de Celui qui est Père et Roi de chaque Nation, de chaque enfant, DIEU, l'ÉTERNEL.
La France, par la Sainte Grâce du Très-Haut, est devenue, par le Choix Divin, le modèle de toutes les Nations, c'est le Choix Royal de Dieu. Et Sa Sainte Patronne est la Bienheureuse Vierge MARIE, Mère de Dieu.
L'histoire de la France s'inscrit en lettres d'or
dans l'histoire du Maître de l'Histoire.
Elle a été choisie par JÉSUS Christ pour montrer à chaque nation ce que JÉSUS attend d'elle.
Je suis le Maître de l'Univers.
L'Univers repose sur Moi.
Toutes les valeurs de la Terre sont à Dieu, comme tous les biens que vous possédez, Dieu vous les donne et d'eux-mêmes, un jour ils retournent à Dieu. Vous ne pouvez pas Me retirer pour longtemps l'appartenance de vos nations, de vos familles, de vos biens, car rien ne vous appartient. En Vérité, tout est à Dieu.
En ces temps, vous luttez désespérément pour maintenir l'équilibre de votre monde qui devient toujours plus incertain. Tous les pays, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, veulent se regrouper pour réunir leurs forces.