Divine Providence by Patrick ROBLES
Paraskevidékatriaphobie : phobie du vendredi 13.
Du grec παρασκευηδεκατριαφοβία, paraskevidhekatriafovía, composé des mots grecs :
παρασκευή : vendredi.
δεκατρείς : treize.
φοβία : effroi, peur.
En anglais : paraskavedekatriaphobia.
On pourrait associer le chiffre 13 à La Cène, où Judas Iscariote est la treizième personne présente au repas ; et le vendredi au Vendredi de la Crucifixion de Jésus-Christ.
Source principale : Wikipedia.
"23 Les soldats, après avoir crucifié Jésus, prirent ses vêtements, et ils en firent quatre parts, une part pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique, qui était sans couture, d'un seul tissu depuis le haut jusqu'en bas. Et ils dirent entre eux :
24 Ne la déchirons pas, mais tirons au sort à qui elle sera. Cela arriva afin que s'accomplît cette parole de l'Écriture : Ils se sont partagé mes vêtements, et ils ont tiré au sort ma tunique. Voilà ce que firent les soldats."
Évangile selon Jean (19 : 23-24), Bible Louis Segond.
À nos amis joueurs :
La tradition immémoriale et les représentations artistiques figurent les soldats jouant aux dés pour se partager la Sainte Tunique du Christ (sans coutures, symbolique du Grand Prêtre) lors de Sa Mise en Croix.
Le vendredi, jour de deuil à la mémoire de la Crucifixion et de la mort de Jésus-Christ, est particulièrement vénérable (notamment les premiers vendredis de chaque mois).
Une personne chrétienne, ou qui aime le Christ à sa façon, serait bien avisée de bannir le jeu de ce jour spirituel, en se recentrant sur la Sainte Eucharistie, la Confession, la dévotion, la prière, la louange, l'action de grâce, la pénitence ou toute autre forme de vénération chrétienne.
La superstition tue la Foi, banalise le blasphème et incite à idolâtrer des symboles et des traditions aux antipodes des enseignements de Dieu, à glorifier des idoles par ses agissements.
Gentiment, en cette journée mondiale de la gentillesse.
Patrick, l'auteur du site.